AREP

CHAMP D’APPLICATION 1 Moins de 1% du bilan carbone total de l'entreprise, soit 6 tCO2e, provient du champ d'application 1. Ces émissions sont liées aux véhicules de fonction possédés par la société. AREP a réduit le nombre de véhicules et entamé le remplacement des voitures thermiques par des modèles hybrides. CHAMP D’APPLICATION 2 Le champ d'application 2 compte pour 2% du total, soit 80 tCO2e, principalement dues à la consommation d'électricité dans les bureaux d’AREP à Paris, en région et à la Réunion. La majorité des émissions provient du siège parisien. Des actions de modération énergétique ont été menées en 2022, incluant: - Maintien de la température des bureaux à 19°C en hiver, - Extinction des chauffe-eau dans les sanitaires, - Réduction des espaces d'accueil le vendredi et en période d'alerte ecoWatt. Par ailleurs, AREP poursuit des initiatives comme: - Évaluation de la consommation énergétique et identification d'améliorations potentielles, - Rénovation de l'éclairage pour accroître l'efficacité énergétique, - Sensibilisation des employés à des pratiques économes en énergie. CHAMP D’APPLICATION 3 Le champ d'application 3 représente 97% du bilan, avec 3 278 tCO2e. - Poste Achats (hors numérique et restauration): 2620 tCO2e, dominé par les services de bureaux d'études externes pour 1 822 tCO2e, suivi des frais généraux pour 798 tCO2e. - Poste Déplacements: 213 tCO2e, divisé entre les trajets domicile-travail (60%) et les déplacements professionnels (40%). Des mesures ont été adoptées, notamment une politique de déplacement plus restreinte et une enquête sur les habitudes de déplacement des employés. - Poste Numérique : 209 tCO2e, avec une majorité de 66% liée à la fabrication de matériel électronique, et des initiatives pour une utilisation responsable du numérique. - Poste Restauration : 192 tCO2e - Poste Déchets : 18 tCO2e - Poste Immobilisations (hors numérique) : 3 tCO2e AREP note l’absence de prise en compte des projets de construction dans son bilan actuel, bien que constituant la majorité de son impact. L'entreprise projetant d’intégrer ces données dans les futurs bilans GES et de répondre à un engagement de réduction des émissions avec la SNCF à travers un système de bonus/malus.